Le port
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Un angle
du port de Sousse |
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Le
port de Sousse malgré toutes ses qualités ne connut pas un
développement comparable à celui de Sfax et il n'est pas rare de voir
des cartes postales le représentant avant 1910 vident de tout trafic ou
presque. |
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Le chargement
des phosphates |
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On voit ici
les machines qui permettaient de charger les phosphates. |
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Ces deux vues
permettent de constater la progression d'installation |
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Sont importés par le port de Sousse : céréales, farines, semoules, vins et spiritueux, dattes et éponges, tissus et cotons, charbon, bois et matériaux de construction et tous les produits manufacturés européens nécessaires aux besoins des communautés installées. | ||
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Poteries et
palmiers arrivent à Sousse |
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Mais à côté de ces mouvements en général en provenance de l'Europe, de nombreuses petites embarcations alimentaient la ville de quantités d'autres produits en provenance d'autres régions du pays (fruits et légumes, poteries...) | ||
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Le transport
de céréales "Le Calédonie" de Nantes à quai |
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Sont exportés huiles et grignons issus des usines des faubourgs de la ville, sel, alfa, orge et blés, ovins vivants ou morts, lainages, tapis et tissus de la région de Kairouan ou le Sousse mêm, peausseries et cuivres travaillés, sels de mer des salines de la COTUSAL de Monastir (la COTUSAL : Compagnie générale des salines de Tunisie fut créée en 1949) et des phosphates (250 000 tonnes et divers minerais (en faibles quantités 3.500 tonnes). |
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(CPA LL n°56 - Coll. Ch. Attard) |
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