La ville à la veille du Protectorat |
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Panorama
de la ville en 1881 - cliquez
sur l'image pour l'agrandir |
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En 1862, Victor Guérin visite la ville de Sousse, il vient de Tunis et a fait la voyage à cheval sur une piste sablonneuse, car il n'existe pas encore de route en dur en Tunisie. En s'approchant de la cité, il admire les plantations d'oliviers, de figuiers et d'arbres fruitiers, observe que certaines maisons demeurent en ruines et finit par rentrer dans Sousse, Sousa-El-Abiod (Sousse la blanche) par la porte Bab-el-Gharbi que voici : |
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Bab-el-Gharbi |
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Sidi Ahmed-Bou-Achour l'accueille
dans sa maison de Dar-el-Bey, puis Guérin rend visite au vice-consul de France
M. Espina et à son secrétaire M. Sicard. |
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Vue
générale de la ville sur cette très vieille photo Garrigues |
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L'enceinte est peu épaisse et ne résisterait pas longtemps aux canons puissant d'une armée moderne. Elle est alors percée de trois portes qui sont respectivement : Bab-el-Gharbi ou porte de l'occident, Bab-el-Bahr, porte de la mer et Bab-el-Djedid, la porte moderne. |
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Ce plan dressé d'après les relevés de la brigade topographique du ministère de la guerre fut aussi édité pour les guides Joannes en 1886. |
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Près
de Bab-el-Bahr se dresse un bastion qui selon lui ne date que du début du
XIXème siècle et Bab-el-Djedid est proche de Kasr-el-Bahr, le château de
la mer. |
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